Un jardin sur un balcon !

Vivant en appartement, nous voulions tout de même notre petit jardin. Un jardin ouvrier ? Non parce que ce type de jardin loué par les communes sont souvent loin de chez soi et il faut donc du courage pour aller l’entretenir après le travail (surtout en hiver !). Nous avons donc opté pour le jardin sur le balcon. En effet, notre balcon est assez grand et comme il donne sur la rue nous n’avons pas installé de table pour manger dehors.

Pour faire notre jardin, nous avons eu besoin de :

– 4 planches de 30 cm de largeur (des lattes de palettes)

– 4 morceaux de bois sur lesquels les planches seront fixées

– Une grande bâche étanche

Une fois le jardin monté dans un coin ensoleillé, il faut mélanger 1/3 de terre pour 2/3 de terreau. La terre doit être ensuite arrosée avant plantation.

Nous avons ensuite planté des pieds de petites tomates rondes et des tomates cerises (les cœurs de bœuf sont trop fragiles), des radis 18 jours (deux rangées plantées à une semaine d’intervalle pour avoir une rotation), de la salade et des fraises. Des pieds de tomates cerises ont aussi été plantés dans des pots de fleurs.

 

 

Vous pouvez aussi mettre des courgettes et des aubergines mais dans des pots de fleurs parce que ça prend  beaucoup de place.

 

 

 

 

 

 

 

Et voici le fruit de la récolte 🙂

N.B. : (puisqu’on m’a posé la question) lors de la taille des plans de tomates il faut laisser 4 bouquets de fleurs. Une fois que les premières tomates pointent le bout de leur nez, ne pas tailler et faites les monter.

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Desserte à outils comme meuble à chaussure ?!

Mon premier meuble…

Ce meuble à outils partait à la poubelle et certaines parties telles que le système de fermeture avait été égaré.

La première étape du travail de transformation a consisté à éliminer tous les supports d’outils soudés aux parois du meuble. Pour faire sauter les points de soudure, il a fallu se munir d’un ciseau, d’un marteau et d’un peu d’huile de coude bien sûr !! La mise à nu des portes et de l’étagère située au dessus du tiroir a été très délicate car la tôle, plus fine à ces endroits, se déchirait à chaque coup donné.

Après avoir ôté les poignées des portes, l’étape suivante a été le ponçage du meuble (intérieur et extérieur). Puis, les trous faits lors de la première étape ont été rebouchés avec une pâte métallique (temps de séchage de minimum 24h).

Puis une peinture rouge de type « glycéro brillante » pour fer a été appliquée (2 à 3 couches). Cette peinture protège le métal des chocs, de la corrosion et des UV. Aucune couche antirouille n’a été préalablement appliquée puisque le meuble est prévu pour l’intérieur. Quant aux portes, elles ont été peintes avec de la peinture effet martelé qui ne nécessite pas de sous-couche antirouille. Cette peinture s’étire assez mal selon la température et l’hydrométrie ambiantes et pour des surfaces planes le rouleau est peut-être plus adapté que le pinceau (elle peut aussi s’appliquer avec un pistolet).

L’installation des étagères fût elle aussi compliquée dans le sens où il était hors de question de faire des trous dans le meuble pour y fixer des baguettes. Elles ont donc été fixées à l’aide de scotch double face (2 baguettes orientées verticalement sur les faces latérales et le fond du meuble). Le tout est maintenu contre les parois grâce aux étagères elles-mêmes qui reposent sur des petits crochets. Les étagères sont des plaques de tôle peintes avec la peinture à effet martelé.

Enfin, la serrure du meuble a été retrouvée et le mécanisme de fermeture d’origine a pu être réinstallé.



Lampe et plateau en ardoise : mes premiers relookings

Cette lampe qui date des années 80 est une lampe d’enfant que j’ai reçue à un Noël. Son pied était rose bonbon avec un abat-jour en tissu imprimé de grosses fleurs assorties au pied. Autant dire qu’après 20 ans de bons et loyaux services, il ne restait que trois possibilités : la poubelle, le placard ou un relooking express…

La peinture couleur poivre utilisée pour le pied est une peinture pour plâtre et radiateur afin qu’elle ne s’écaille pas avec la chaleur de la lampe.

 

 

A l’origine ce plateau acheté dans un vide grenier était de couleur blanc cassé et des coupes à champagne étaient peintes sur l’ardoise. Il a donc fallu gratter et frotter à l’acétone l’ardoise ainsi que poncer le plateau en bois pour repeindre. Comme l’ardoise ne s’est pas effritée après le traitement subit, je l’ai laissé brut.


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