Porte revues façon puzzle

Bonjour à tous,

courant part tout, j’ai enfin trouvé le temps de finir mon porte revues en kit. Le matériel nécessaire pour fabriquer ce porte revues est :

– des planches de bois de 5 mm d’épaisseur (privilégiez les chutes de planche) ;

– une scie ;

– un crayon de papier ;

– une règle.

Tout comme une jardinière, ce porte revues prendra appuie sur un rebord. Avant de commencer la fabrication, il est donc important de prendre en considération la dimension du rebord ainsi que les dimensions que vous souhaitez (Personnellement, j’ai adapté les dimensions à ma table de chevet afin d’y ranger mes livres).

Voici le plan du porte revues :

La première étape de travail est de reporter le patron sur les planches puis de les découper à la scie.

Une fois toutes les pièces découpées elles sont peintes.

Pour décorer mon porte revues, je me suis fabriquée un pochoir maison en imprimant un mot sur une feuille. Pour éviter que la peinture traverse le papier lors du transfère, un film plastique (protège livre) est collé sur la feuille.

Le mot est ensuite découpé au cutter.

Les cinq pièces de mon puzzle sont enfin sèches et il ne reste plus qu’à les emboîter.

Pour maintenir les pièces entre elle, un cordon décoratif enlace et bloque chaque partie de l’assemblage.

Et voici mon nouveau porte revues fait maison 😉


Magnet personnalisé

Bonjour à tous,

En allant à l’atelier de mécanique de mon Institut, je suis « tombée » sur une fraiseuse qui a attirée mon attention de part le nom écrit en gros sur la machine : Graffenstaden. Je l’ai pris rapidement en photo (d’où le mauvais cadrage) et j’ai discuté avec l’un des mécanos de cette machine. Là, il m’apprend que cette « fraiseuse allemande » n’est plus aux normes et donc par à la réforme. Effectivement, les bâtiments sont en cours de déménagement, ce qui est souvent un bon prétexte au rangement par le vide…

Les Alsaciens apprécieront certainement le fait que j’ai corrigé ce monsieur en lui apprenant que Graffenstaden est une ville limitrophe à Strasbourg (Illkirch-Graffenstaden). D’ailleurs, en regardant de plus près, on voit une plaque sur laquelle la Cathédrale de Strasbourg est gravée et où il y a la mention « made in France » d’inscrit 😉

Le mécano a décollé la plaque et me l’a offerte en souvenir de mes 4 ans passés en Alsace.

D’après cette plaque, la machine date de 1972 et je ne sais pas pourquoi le nom de l’entreprise Alcatel est gravé sur celle-ci (bien qu’Alcatel soit toujours présente à Illkirch-Graffenstaden).

Pour conserver la plaque sans l’abîmer, j’ai décidé de la « magnétiser ». J’ai commencé par la laver  et par enlever la colle de la face arrière à l’eau chaude et au savon.

J’ai ensuite pris un tableau magnétique publicitaire (pour noter les courses) dont on ne se sert pas et je l’ai découpé légèrement plus petit que ma plaque.

Enfin, j’ai collé la face publicitaire du magnet sur la face arrière de ma plaque avec de la colle forte que j’ai laissé séchée.

Et voilà un magnet souvenir réalisée très facilement et très rapidement 😉

N.B. Si votre plaque est trop lourde, le magnet ne sera peut-être pas assez forte alors pensez à une aimantation plus grande.


MasterMind

Bonjour à tous,

aujoud’hui je vais vous expliquer comment fabriquer votre jeu de société MasterMind pour environ 10€.

Le MasterMind est un jeu inventé dans les années 60 et destiné aux jeunes comme aux moins jeunes. Il vous fera travailler votre esprit de déduction et de réflexion.

Pour fabriquer ce jeu, vous aurez besoin :

– d’une planche rectangulaire ;

– de piques à brochettes en bois ;

– de perles de 10 couleurs différentes ;

– d’une perceuse ;

– de la peinture (optionnelle).

Fabrication du plateau de jeu.

Le plateau est fabriqué dans une planche en bois rectangulaire dans laquelle sont percés des trous. Le nombre de lignes à jouer peut varier (ici j’ai fait 10 lignes). Chaque ligne comporte 8 emplacements : 4 destinés à la combinaison testée et 4 autres pour indiquer les pions bien placés ou non.

J’ai donc commencé par quadriller ma planche pour marquer les emplacements de chaque trou. Une fois le marquage fait, les trous sont percés avec une perceuse.

 Petite astuce : pour percer des trous de profondeur régulière, un bout de scotch est collé sur la mèche de la perceuse.

 Il ne faut pas oublier de percer 4 trous sur la tranche de la planche. Ces derniers trous sont destinés à la combinaison de couleur à trouver.

 Une fois les trous percés, la planche est peinte et l’emplacement des pions  pour les combinaisons de couleur testées est marqué afin d’être bien visible. Enfin, 4 patins sont fixés sous la planche.

 

Fabrication des pions :

Dans ce jeu, il y a deux types de pions. Les premiers sont des pions noirs et blancs qui servent à dire si les pions de la combinaison de couleur sont à la  bonne place ou non.

 

Pour faire ces pions, j’ai récupéré des perles en bois qui faisaient partie d’une sublime housse de siège de voiture des années 80 et des baguettes à brochette.

 

 

 

Avec de la colle, la perle est fixée sur la baguette puis le « pied » du pion est coupé à la dimension des trous du plateau de jeu (marque au stylo sur la baguette).

 

 

Dans le jeu traditionnel, le MasterMind comprend des pions de 8 couleurs différentes. Pour environ 10€, j’ai donc acheté des perles en bois de 8 couleurs différentes (24 perles par couleur).

Pour bien différencier les pions jouer des pions noir et blanc, les perles de couleur sont plus grosses que les perles du tapis de voiture.

 

Comme pour les pions noirs et blancs, les perles sont collées sur les baguettes à brochette.

 

     

   

   

Règles du jeu :

Un joueur commence par placer une combinaison de pions de façon à ce qu’elle soit cachée de l’autre joueur. Le joueur qui n’a pas sélectionné les pions doit trouver quels sont les quatre pions, c’est-à-dire leurs couleurs et positions.

Pour trouver la combinaison de couleur, le joueur doit placer des pions sur une rangée selon l’idée qu’il se fait des pions dissimulés.

Une fois les pions placés, l’autre joueur indique :

  1. le nombre de pions de la bonne couleur bien placé en utilisant le même nombre de pions noirs ;
  2. le nombre de pions de la bonne couleur, mais mal placés, avec les pions blancs.

La tactique du joueur actif consiste à sélectionner en fonction des coups précédents, couleurs et positions, de manière à obtenir le maximum d’informations de la réponse du partenaire puisque le nombre de propositions est limité par le nombre de rangées de trous (soit 10 rangées).

Le joueur gagne s’il donne la bonne combinaison de pions sur la dernière rangée ou avant. Une fois le tour finit, c’est à lui de choisir les pions à découvrir.

 – Jeu de Toc


Récolte de frelons asiatiques

Bonjour à tous,

Si vous n’étiez pas convaincu par l’efficacité des pièges à frelons asiatiques, voici la récolte obtenue en un mois dans la région de Montpellier :

Cinq pièges ont été dispersés dans le jardin et un seul a été productif. Est-ce parce qu’il était installé dans les lauriers roses ou est-ce qu’un nid est actuellement en construction dans les parages ? Je n’en sais rien. Toutefois, cet exemple montre qu’il ne faut pas hésiter à installer plusieurs pièges dans votre jardin ou sur votre balcon (même sur une petite surface).

Sur cette photo, la moitié de ces frelons sont des frelons asiatiques. Ces derniers sont des fondatrices de nid et certaines sont de la taille d’un pouce. Impressionnant n’est-ce pas.

Voici comment faire la différence entre les frelons asiatiques et les frelons européens : les asiatiques ont les pattes jaunes.

Le mois de mai ayant été assez mauvais, les fondatrices sont encore en train d’errer à la recherche de nourriture donc laissez vos pièges tout le mois de juin.

Fabrication des pièges


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