Bonjour à tous et à toutes,
A chaque séjour, sa découverte !! Ce weekend nous avons découvert une nouvelle curiosité parmi les objets de l’oncle Eugène. Bien qu’elle sorte du cadre du blog, cela me fait plaisir de la partager avec vous.
Je vous laisse donc découvrir ce beau canotier et le détail qu’il cache. L’avez-vous trouvé ??
Bonjour à tous,
dans un précédent article j’avais évoqué le fait que j’allais vous présenter une astuce pour masquer les traces laissées au plafond engendrées par la démolition d’une cloison. L’idée est de faire une rangée de spots qui apportera de la lumière et de la modernité tout en cachant les gaines électriques qui circulaient initialement dans la cloison démolie.
Si comme nous vous optez pour cette solution, pensez à ne pas faire un coffrage trop restreint afin de laisser de la place aux éventuelles gaines électriques et surtout, n’oubliez pas que les spots chauffent et donc ne doivent pas être confinés.
Ce projet nécessite peu de matériels :
– 3 planches de contreplaqué de 1 cm d’épaisseur et d’une longueur adaptée à votre projet : 2 planches de 15 cm de largeur minimum pour les faces latérales du coffrage (hauteur nécessaire au système d’alimentation et de connexion des spots) et une troisième planche d’une largeur supérieure au diamètre des spots sur laquelle ils seront fixés.
– 4 tasseaux de 2 x 2 cm² d’épaisseur et d’une longue là aussi adaptée à votre projet ;
– vis à bois et chevilles ;
– spots ;
– 1 scie cloche ;
– 1 perceuse.
Étape 1 : montage à blanc
Après avoir coupé les planches et les tasseaux aux bonnes dimensions, pensez à faire un montage à blanc au sol pour le valider. D’autre part, pensez à présenter le coffrage afin de vérifier les cotes.
Étape 2 : mise en place du premier tasseau
Pour bien fixer le tasseau au plafond il est important de mettre des chevilles. Il est assez compliqué des mettre des chevilles puis de visser à l’aveugle dans le tasseau. Aussi, je vous conseille donc de positionner le tasseau et de le pré-percer avec une vis de manière à marquer le plafond de son emprunte.
Avec une perceuse, percez le plafond sur les empruntes puis enfoncez les chevilles. A ce moment, le tasseau peut être vissé proprement au plafond :
Étape 3 : placer la première planche latérale du coffrage
La première planche est vissée par l’extérieur dans le tasseau comme le montre les photographies suivantes. Le second tasseau est ensuite vissé au plafond comme indiqué dans l’étape 2.
Étape 4 : installation des spots
A noter : avec les spots sont fournis le système électrique (à l’exception des câbles) et la notice de montage que vous devrez suivre.
Cette étape peut être réalisée avant la pose du premier tasseau.
Pour des raisons de commodités, les derniers tasseaux sont fixés à la planche avant les spots. Puis, après avoir repéré le centre de l’emplacement de chaque spot, la planche est percée avec une scie cloche de 6 cm de diamètre. Clipsez les spots et suivez la notice.
Étape 5 : pose de la rangée de spots
Eh oui, la planche de spots est positionnée avant la seconde planche latérale et vous allez vite comprendre pourquoi.
L’intérêt de placer la planche de spots à cette étape est d’avoir un accès facile à l’intérieur du coffrage pour faire les raccordements électriques et ranger les gaines électriques avant de le fermer.
Si votre rampe est trop lourde, placez un étai pour la soutenir.
Étape 6 : vérification
Avant de fermer le coffrage, pensez à vérifier le bon fonctionnement des spots ainsi que des raccords électriques qui y circulent.
Étape : fermer et contempler
Il est temps de fermer le coffrage et d’admirer cette magnifique œuvre. Reste désormais à faire les finitions, à savoir mettre de l’enduit de finition pour faire des jonctions propres avec les mures et le plafond mais aussi pour cacher les vis (qui sont légèrement enfoncées pour être camouflées le mieux possible). Et pour finir, peindre selon vos goûts.
Bonjour,
En raison des travaux, c’est au mois de mai que je vous présente la dernière série de cadeaux Noël personnalisés. Cette année le thème des cadeaux de Noël était le fait maison et si tous les cadeaux confectionnés ne sont pas sur le blog c’est parce que j’ai fait une trentaine de bouillottes et sauvé les vieilles vidéos de famille en format DVD. Bien que ce ne soit pas le sujet de cet article, pour ce dernier cadeaux les vidéos ont été copiées grâce à un combinet K7/DVD.
Pour certaines femmes de la famille, j’ai confectionné des trousses à maquillage à leurs couleurs. Ce projet assez simple pour une vraie couturière est un très bon exercice pour apprendre à poser une fermeture éclair.
1/ Matériels :
– 4 pièces de tissus de dimensions supérieures à 22 x 16 cm² ;
– 1 fermeture éclair de 22 cm ;
– du fil ;
– une paire de ciseaux ;
– une machine à coudre.
Après avoir découpé les pièces de tissu, elles sont repassées et ourlées sur l’une des deux longueurs (un seul rabat), photographie ci-dessus. Le montage peut désormais commencer.
2/ La confection :
. Pour cacher la couture de la poche interne, il est important de commencer par coudre ensemble l’intérieur de la trousse et la fermeture éclair.
Petite astuce : Pensez à garder éloigner la couture de la fermeture afin que le tissu ne se prenne pas dedans à chaque utilisation (je parle en connaissance de cause… j’ai démonté 4 fois cette trousse 🙁 )
. L’extérieur est ensuite cousu à la fermeture éclair à une distance proche du zip.
A cette étape du travail, j’ai inscrit à la machine à coudre les prénoms sur les trousses. Si vous souhaitez vous aussi personnaliser vos créations avec des inscriptions c’est très facile : à l’aide d’un feutre lavable en machine, notez votre inscription puis suivez la lors de la couture. Pour le faire proprement, cousez sans appuyer sur la pédale de la machine à coudre car l’opération est délicate.
. Pour fermer la trousse, je commence par coudre sur l’envers la poche intérieure.
Attention : Pour ajuster l’ensemble, la fermeture doit être fermée.
Dans cette étape du travail, il est indispensable de faire attention à deux choses : coudre jusqu’en haut de la poche (cf. les flèches blanches) sans prendre le tissu extérieur.
N.B. : comme à chaque fois, après la couture droite pensez à arrêter le fil du tissu avec une couture zigzag.
. Après avoir vérifié que l’intérieur est bien cousu, l’extérieur est cousu lui aussi sur l’envers.
Contrairement à tout à l’heure, avant d’assembler la poche extérieure la fermeture éclair doit être partielle ouverte. Si vous oubliez ce point, bon courage à vous pour retourner la trousse !
Enfin, je laisse un trou pour retourner la trousse. Sa dimension correspond à la taille de l’étiquette et donc il sera fermé sur l’endroit au moment de la pose de celle-ci.
N.B. : Si vous souhaitez cacher la dernière couture, commencez par assembler la poche extérieure (fermeture éclair fermée) puis fermez la poche intérieure (fermeture éclair partiellement ouverte).
Et voilà un très bon exercice réussi et qui j’espère a plu 🙂
Bonjour à tous,
j’ai Récemment été sélectionnée par l’équipe de Bosch pour tester le dernier né de la marque, le coupe-carrelage PTC 640 dont voici le compte-rendu. Comme pour le test de l’agrafeuse PTK 14 EDT , ce test développera des un premier temps mes premières impressions face à l’emballage et au coupe-carrelage. Puis, je comparerai l’outil à une carrelette premier prix et la testerai pour couper de la faïence et du carrelage grès cérame.
1. Emballage
Je n’ai par réceptionné le colis moi-même mais nous avons tous eu la même impression en le voyage : « c’est énorme » ! Cette dimension XXL présage donc d’un outil encombrant et relativement lourd, ce qui dans ma tête rime avec stabilité lors de la découpe (première impression).
L’emballage est en carton et je ne sais si c’est un défaut ou une qualité. Toutefois :
(-) Il manque une poignée pour aider au transport du coupe-carreau.
(-) De manière générale, je pense que si Bosch souhaite poursuivre avec les emballages en carton, ils devraient donc être améliorés en s’inspirant de l’emballage des machines à coudre car les petites languettes sont très rapidement inutilisables puisque j’ai été obligée de les renforcer avec du scotch pour éviter que l’emballage ne s’ouvre tout seul une fois l’outil rangé (photos 2a et 2b).
(+) L’ouverture du colis confirme ma première intuition : l’outil apparaît de bonne manufacture et solide. Il donne envie de découper du carrelage.
Conclusion : contrairement au coupe-carreau, l’emballage en carton laisse une impression mitigée.
2. Coup d’œil sur le coupe-carrelage PTC 640
(+) Le poids de l’outil est bien réparti et lui confère une bonne. Vu la dimension du coupe-carreau, le mot carrelette est un peu réducteur.
(+) La PTC 640 semble assez simple d’utilisation avec des fonctionnalités qui sécurise la découpe. (photos 4 à 7)
(+) La présence de poignées pour porter le coupe-carrelage est appréciable (photo 8).
(+) Le plateau de découpe est l’atout majeur de la PTC 640. Il est stabilisé par des ressorts (photo 9) et permet la découpe de carreau assez grand, type de carreau actuellement la mode.
Conclusion : Le coupe-carreau PTC 640 semble prometteur.
3. La notice
(+) La notice est assez brève du fait que l’outil soit simple. Après la description des consignes de sécurité, les options du coupe-carreau sont décrites.
4. Déroulement du test du coupe-carreau PTC 640
Le test se décompose en trois parties. Dans un premier temps, j’ai décidé de comparer le coupe-carreau PTC640 à une carrelette premier prix puis j’ai testé la découpe en angle. Dans ce test, deux types de carreau sont éprouvés : la faïence et du grès cérame.
a/ Comparaison de le PTC 640 à une carrelette premier pris
La photo 10 met en évidence les dimensions plus imposantes de la PTC 640 face à la carrelette.
(+) Ayant à découper des grands carreaux, la photo 11 permet d’appréhender les problèmes de stabilité que l’on peut avoir avec une carrelette premier. Ce problème ne se pose pas avec la PTC 640 puisque son plateau de découpe maintient à l’horizontal le carreau et qu’il est fermement tenu.
(+) Sur la photo 12, on me voit serrer avec mes jambes la carrelette qui glisse lors de la découpe. Avec le coupe-carreau Bosch, j’ai pu découper d’une main et de manière très facile mon carreau.
(+) Le levier de découpe est suffisamment long pour faire une découpe facile et les patins d’appui en caoutchouc ne glissent pas (photos 13 & 14).
(++) Les photos 15 & 16 parlent d’elles-mêmes : contrairement à la carrelette 1er prix, la PTC 640 fait des découpes parfaites.
b/ test de la coupe à 45°
(+) la découpe à 45° est simple à mettre en place grâce au système d’ajustement en fonction de la taille du carreau (photo 17) et grâce au repère observé sur la photo 18.
c/ découpe d’un grès cérame avec colle
(+) Pour corser l’exercice, j’ai voulu découper un carreau en grès cérame qui avait déjà été collé. La colle séchée présente sur le verso (photo 19) du carreau fait dépasser l’épaisseur globale du carreau à découper, épaisseur supérieure à celle recommandée dans la notice. Toutefois, le système de ressort qui se trouve sous le plateau a permis de loger ce carreau et de faire la découpe qui est satisfaisante (photo 20).
5. Résumé
Cet outil fait partie de la gamme expert destinée au grand public mais je pense que beaucoup de professionnels ne sont pas munis d’un tel outil. Il est très ergonomique et facile d’utilisation. L’emballage en carton mériterait d’être afin d’être plus en accord avec la gamme de qualité du produit.
Je remercie Bosch de m’avoir permis de tester cet outil car il sera un grand confort dans la découpe de ma faïence de cuisine puis pour couper les raccords de carreau grès cérame que j’ai à faire. Dans futur moins immédiat, il y aura deux terrasses à carreler. Autant vous dire que je compte en profiter car je n’ai eu l’occasion de tester la découpe en série.
Prix de la carrelette : 200€
Les (-) :
Les (+) :
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