Bonjour à tous et à TOUTES !
Car oui, l’article du jour est très fille 🙂
S’attacher les cheveux est une question de sécurité sur un chantier et hélas il m’est déjà arrivé d’oublier mon élastique. Heureusement pour moi, on trouve de tout sur un chantier et ce jour là mon bonheur a été de trouver ce bout de câble électrique :
La suite en image et au travail 😉
Bonjour à tous,
Par ces fortes chaleurs il est important de faire entrer la fraîcheur. Pour ouvrir les fenêtres tranquillement la nuit sans que les moustiques et autres bestioles viennent me taquiner, j’ai confectionné des moustiquaires sur mesure et totalement démontable. Pour les portes fenêtres, je vous invite à lire cet article : ICI.
Avant d’aller en mercerie acheter le matériel nécessaire, les dimensions intérieures des fenêtres ont été relevées (photos 1 et 2). Le laie de moustiquaire faisant 3 m de large, seul 1 m de tissu (7,5 € le mètre) a été acheté (les fenêtres font 70 x 90 cm). Avec ceci, j’ai acheté du velcro (2 €) et du scotch double face (10€) pour surface lisse et résistant au milieu extérieur. Le prix de revient d’une moustiquaire est donc inférieur à 5 €.
Mon conseil n°1 : Faire bien attention à acheter de la moustiquaire et non du tulle ou un autre tissu de ce type. En effet, la moustiquaire est un « tissu » de nylon très résistant aux agressions extérieures alors que le tulle par exemple est entre autre fait de coton ou de soie, des matières fragiles.
Mon conseil n°2 : N’optez pas pour un tissu blanc mais plus pour du vert, du noir ou du jaune qui s’avéreront des couleurs plus discrètes que le blanc.
Mon conseil n°3 : Pour faire des économies, n’achetez pas votre moustiquaire dans une grande surface de bricolage mais rendez vous dans un magasin de tissu.
Voici les étapes de fabrication des moustiquaires :
1. Confection du rectangle de tissu :
Dans un premier temps, les dimensions de la fenêtre sont reportées sur le tissu avec un feutre qui disparaît dans l’eau (Photo 4). Autour de ce rectangle, je prends en compte une bande extérieure qui me servira à ourler le tissu (photo 5).
Une fois le rectangle cousu, il est trempé quelques secondes dans l’eau pour faire disparaître le feutre (photo 6) puis est séché (photo 7).
2. Mise en place des points de fixation :
Je n’ai pas voulu d’un cadre de fixation en bois comme on peut le voir fréquemment car habitant au quatrième étage, je ne peux pas venir le poser de l’extérieur et faire tomber le moindre outil serait dangereux.
Ainsi, pour cette seconde étape la partie douce du velcro est cousue sur les côtés de la moustiquaire. Vous pouvez parfaitement mettre du velcro sur toute la circonférence mais personnellement j’ai opté pour du velcro à chaque angle ainsi que trois bandes sur chaque côté (photo 8).
Petite Astuce : Pour plus de discrétion, le velcro est coupé de façon à ce que sa largeur corresponde à celle de l’ourlet.
Pour finir la moustiquaire, le scotch double face est collé sur la seconde partie du velcro (photos 9 et 10).
3. Mise en place de la moustiquaire :
Avant de coller la seconde face du scotch, il est très important de laver l’encadrement de la fenêtre afin d’optimiser l’adhérence du scotch (photo 11).
La photo 12 montre que la largeur des fixations correspond à la largeur de la rainure du cadre de la fenêtre. Ainsi, le velcro est parfaitement dissimulé et la moustiquaire installée épouse parfaitement les dimensions de la fenêtre.
Nota Bene : Lors d’un test, la largeur de la bande de velcro était de 2 cm et il était donc trop large pour être caché par l’ourlet. Comme le montre la photo 14, ceci faisait particulièrement moche :
Comme le montre la photo 15, la fermeture de la fenêtre n’est pas gênée par la moustiquaire. Elle ne gâche pas non plus la vue sur les arbres.
Mon conseil n°4 : Pour que la moustiquaire soit efficace, il est indispensable qu’elle soit bien tendue.
Bonjour tout le monde,
Comme nous avons abattu des cloisons lors de la rénovation de notre appartement, nous devions unifier nos murs. Alors que les peintures murales classiquement utilisées sont souvent satinées, nous avons choisi une peinture mat qui permet d’atténuer les effets visuels liés aux aspérités des murs.
1. Préparation du mur :
Comme le montre la photographie ci-dessous, le mur à couvrir est sur une partie blanc et sur l’autre marron. Avant d’appliquer la sous-couche, le mur a été préparé. Comme il n’était pas gras, il a simplement été légèrement poncé puis essuyé avec un chiffon micro-fibre humide. Lorsqu’un mur est gras (mur de cuisine par exemple) ou sale, lessivez-le avec de la lessive St Marc puis rincez-le plusieurs fois avec une éponge humide (non gorgée d’eau) jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de trace de lessive.
N.B. : La sous-couche est appliquée uniquement sur mur sec, propre et sans poussière.
2. Sous-couche :
Pour fabriquer la sous-couche, nous avons recyclé un reste de peinture blanche peu couvrante (pourtant de marque réputée) à laquelle nous avons ajouté l’équivalent d’un verre de la peinture finale. Cette méthode est plus économique que l’achat d’une sous-couche spécifique et permet de pré-colorer le mur et d’accentuer l’opacité de la sous-couche.
Bien que cette sous-couche ne soit pas homogène, sa couvrance est remarquable et une seule passe suffit à faire disparaître la peinture marron. Avec cette astuce, vous pouvez envisager d’acheter une peinture blanche premier prix pour faire la base de votre sous-couche.
3. Peinture finale :
Le mur est peint dès séchage complet de la sous-couche. Il est important de stipuler qu’une peinture ne s’applique pas lorsqu’il fait très chaud et il est indispensable de réaliser cette tache d’une traite. Dans le cas contraire, des traces de rouleau marqueront votre mur…
Enfin, sachez que les peintures de marque ne sont pas forcément les meilleures. Les peintures vendues chez Lidl et chez bricomarché m’ont notamment été recommandées par un peintre, respectivement les marques Baufix et Nuance. Ce poste pouvant très vite devenir onéreux, pensez à demander le prix de la peinture préparée en magasin car ils peuvent varier de 2€ à plus de 10€ le litre…
Bonjour à tous,
Aujourd’hui je vous présente en vidéo comment fabriquer de la pâte à bois. Un ami, Stéphane Obino, m’a permis d’exploiter l’une de ses musiques pour rythmer ce travail et je l’en remercie. Et merci à Thierry M. Pour m’avoir donné des copeaux de bois 🙂
Bon visionnage.
Hi everyone,
Let me present you my last video. I filmed how I prepared a wood filler to fix a stool and a bird house. A friend of mine, Stéphane Obino, let me use one of his musics to give a rythm to the video. Many thanks to you Stéph and to Thierry M. who gave me wood swarf 🙂